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FCO et MHE, les éleveurs attendent un soutien de l’État

Les syndicats agricoles majoritaires, les chambres d'agriculture et les coopératives alertent les pouvoirs publics des risques de la crise sanitaire liée à la fièvre catarrhale ovine (FCO) et à la maladie hémorragique épizootique (MHE).

La FNSEA, ses associations spécialisées, JA, les chambres d’agriculture et La coopération agricole rappellent aux pouvoirs publics leurs « demandes prioritaires » pour soutenir les éleveurs face à la crise sanitaire liée à la fièvre catarrhale ovine (FCO) et à la maladie hémorragique épizootique (MHE).

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Entre la FCO et la MHE, « les éleveurs de ruminants se retrouvent confrontés à des maladies vectorielles impactant la santé de leurs animaux et leur trésorerie ». C’est l’alerte que lancent la FNSEA, ses associations spécialisées, JA, Chambres d’Agriculture France et La Coopération Agricole dans un communiqué de presse conjoint diffusé le 7 août 2024.

Dans l’attente de « réponses concrètes » de l’État

Alors qu’un premier foyer de fièvre catarrhale ovine (FCO) lié au sérotype 3 a été identifié dans le département du Nord, ces organisations attendent une action rapide des pouvoirs publics et des « réponses concrètes […] pour que les impacts sanitaires et économiques soient maîtrisés. »

Qu’attendent-ils du gouvernement ? Qu’il soutienne « l’élevage et ses éleveurs pour qu’ils continuent à protéger leurs cheptels et pouvoir valoriser les animaux ». Ils listent quatre demandes prioritaires :

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